Des feuilles mortes et des macarons
Rendez-vous était pris ; samedi, Eléonore et sa soeur, d'une incroyable gentillesse l'une comme l'autre, venaient à la maison pour une leçon de macarons. Tamis, poudre d'amandes, meringue italienne, thermomètre, poche à douille... la cuisine était en studieuse effervescence et l'expérience -si agréable- est à renouveler. Un après-midi tout en douceur, où le café s'accompagnait d'un apfelstrudel absolument divin préparé par mon élève. Pour quelqu'un qui n'aime pas les fruits, j'ai hâte d'être à Vienne pour en goûter un ! Alors dimanche, après une deuxième fournée de macarons, en solitaire et au chocolat cette fois, parce qu'à la rose il n'y a que moi qui les apprécie, c'est dans les feuilles mortes qui se ramassent à la pelle que nous avons, avec les enfants, profité des derniers rayons du soleil au jardin. Nous étions si bien...